Journée Internationale des Femmes

Sur la proposition de l’Internationale Socialiste en 1910, la journée internationale des femmes (le 8 mars) a été célébrée pour la première fois dans beaucoup de pays industriels. Elle demandait le droit de vote, le droit au travail, à la formation professionnelle et à la fin de la discrimination au travail. Depuis lors, cette journée est commémorée et fériée dans les pays démocratiques. Elle symbolise la longue lutte des femmes sur tous les continents, d’ethnies, religions, cultures et classes sociales différentes, mais qui ont été privées de l’égalité avec les hommes. 
 
Aujourd’hui, nous savons que la lutte pour l’égalité, la justice, la paix, la démocratie, le sécularisme et le développement de la société n’est pas séparée de la lutte contre l’islam politique qui est le berceau de la misogynie dans le monde d’aujourd’hui. La journée internationale des femmes est un symbole des femmes en tant qu’associées à aux hommes. C’est un démenti aux discriminations religieuses, sur tôt celles de l’islam, qui considèrent les femmes moins dignes que les hommes. Ce jour est enraciné dans la lutte historique contre les jours noires de l’église européenne, c’est une demande de « liberté, égalité, fraternité » comme durant la Révolution française. 
 
La journée internationale des femmes a emmené une nouvelle dimension pour des femmes dans les pays développés et en voie de développement. Mais l’islam politique international, à l’ambition croissante, est une nouvelle barrière sérieuse à la liberté des femmes. Aujourd’hui, en dépit des efforts coordonnés dans le monde, la communauté internationale à travers l’ONU ignore le destin des centaines de millions de femmes qui sont les victimes consentantes de la misogynie islamique. 
 
Alors que le 8 mars était un symbole de laïcité contre l’église catholique, il devient maintenant plutôt une lutte mondiale contre la misogynie de la mosquée islamique. Aujourd’hui, l’ombre affreuse de l’islam politique déploie ses ailes au-dessus d’une grande partie du monde musulman. 
 
Pour les femmes iraniennes un changement du régime islamique est un préalable à leur liberté et l’égalité de droits sociaux. Si nous voulons repousser les principes religieux qui mettent les femmes dans une position inférieure dans toutes les sociétés islamiques, nous devons faire disparaître le régime islamique en Iran qui est aujourd’hui le berceau de l’islamisme international. 
 
Selon l’organisation mondiale de la santé, 85 à 115 millions de filles et des femmes ont subi des mutilations génitales. Ces pratiques archaïques sont toujours en cours dans beaucoup de pays musulmans malgré le fait qu’elles soient critiquées par la communauté internationale. 
 
Dans certains pays musulmans, des femmes qui ont été violées sont parfois tuées par leurs propres familles pour préserver l’honneur de la famille. Des massacres de telle « honneur », en tant qu’un legs des traditions islamiques, ont été rapportés en Jordanie, au Pakistan, au Liban, en Syrie, en Irak et d’autres pays du Golfe Persique. 
 
Le viol en tant que moyen d’humiliation, de pression, et de torture a été employé contre des femmes dans les prisons politiques iraniennes. Le viol des femmes « non musulmanes » avant leur exécution est systématique par les autorités islamiques. 
 
Depuis 1979, une majorité toujours croissante de femmes iraniennes identifiées comme « mal voilées », souffrent quotidiennement de l’obligation du port du voile islamique. Depuis l’existence du régime islamique, pas un jour ne s’est écoulé sans attaque, agression physique, arrestation, jet d’acide, harcèlement et pression psychologiques sur les femmes. 
 
La république islamique d’Iran a clairement indiqué que pour les femmes aucune autre sorte de vêtement n’est acceptable sauf le voile islamique– un vêtement long et sombre qui voile entièrement le corps. 
 
La croissance écoeurante de la violence contre des femmes en Iran a rigoureusement limité les conditions d’accès au travail, à l’éducation, aux arts, au sport, au divertissement et à la liberté générale dans les toutes les branches de la vie sociale. 
 
La raison pour laquelle l’islam insiste sur le port du hijab est pour éviter les contacts « inutiles » entre les femmes musulmane et les « non mahrams » (hommes hors du cercle de famille). Cette raison a formé un dogme qui consiste des « mahram »(membre masculins de famille) et « non mahram ». Ce dogme est à la base de ségrégation sexuelle ou bien l’apartheid de sexe. Sa « croix gammée » est le hijab islamique qui symbolise cet apartheid de ségrégation sexuelle–voire mes articles (Hijab Islamique) ainsi qu’en anglais, (Non-Mahram) et (Gendre Division).

Bien que certains musulmans « modérés » proclament que les femmes et les hommes ont l’égalité des droits, les faits quotidiens sont contraires. Les problèmes des influences religieuses, particulièrement dans les sociétés islamiques, n’ont pas été résolus depuis long temps. 
 
Au fil des années, des conférences, des manifestations et des commémorations de toutes sortes se sont tenues pour réfléchir sur les progrès accomplis. Il est maintenant temps de réclamer ce qui n’a pas été fait. La journée internationale des femmes devrait être l’occasion de rassembler des efforts efficaces et communs contre la misogynie islamique qui demeure le principal obstacle à la réalisation des droits des femmes dans les pays musulmans. 
 
Bien que la charte des Nations Unies propose l’égalité des sexes comme un des droits fondamentaux de l’homme, elle ne peut pas fixer des normes, des programmes, et des buts pour avancer le statut des femmes dans le monde musulman. Par exemple, l’ONU évite de condamner le voile obligatoire qui est le joug le plus symbolique de la misogynie par les régimes islamiques dans leurs pays. 
 
LONU, signée en 1945, était le premier accord affirmant le principe d’égalité entre hommes et femmes. Cependant, la charte a été préparée avant l’arrivée de l’islam politique international. Aujourd’hui, la communauté internationale doit exiger l’ONU d’adopter de nouvelles résolutions défendant le statut des femmes dans les sociétés islamiques. Les femmes, souvent inconscientes, prises par les traditions de misogynie islamique ont besoin d’appui international. L’ONU doit maintenant réagir en vue des rapports sur la misogynie permanente contre les femmes nées accidentellement dans les pays, dits musulmans. 
 
L’ONU qui a été capable de condamner l’Apartheid doit maintenant condamner l’apartheid sexuel des états islamiques en y imposant des sanctions adéquates. La violation des droits fondamentaux des femmes dans le monde islamique est un fait qui a été trop longtemps ignoré. La sauvegarde des droits des femmes est maintenant essentielle pour redonner un sens à cette journée commémorative. 
 
Beaucoup d’exemples quotidiens de misogynie en Iran prouvent que la république islamique bafoue le statut des femmes en réduisant leur statut à un simple moyen de reproduction et l’objet de sexe. Ainsi avec de telles interprétations islamiques, la république islamique de façon démagogique et publicitaire a fait émerger des organisations féminines proches au régime misogyne. Ces organisations n’ont d’autre but que d’officialiser les comportements les plus abjects et les plus misogynes sous couvert du respect de l’islam. 
 
La communauté internationale doit prendre des actions adéquates pour l’égalité des genres en condamnant tous les régimes et institutions islamiques qui sont responsables actifs et officiels de la misogynie. Au vingt et unième siècle, le monde ne peut pas accepter que les droits des femmes soient conditionnés par une doctrine misogyne. Il est temps de cesser d’ignorer une telle doctrine qui considère les femmes comme des « demi hommes » avec des « demi droits » sociaux ! 
 
La promotion de l’égalité des sexes est non seulement de la responsabilité des femmes, mais une responsabilité sociale de toutes les personnes démocrates et laïques. Les droits égaux de femmes dans une société moderne non seulement sont un indicateur de croissance nationale dans la vie sociale et économique, mais aussi un facteur du développement normal pour tous les individus de cette société. 
 
Socio psychologiquement, la séparation des sexes crée des perversités et de l’agressivité. Elles sont le résultat de frustration sexuelle. Politiquement, une telle séparation est favorable pour les régimes totalitaires parc que selon W. Reich les effets secondaires démontrent sous l’aspect de l’obéissance aveugle qui historiquement caractérise toutes les sociétés opprimées. 
 
Dédiions-nous cette journée international des femmes aux centaines de millions de femmes qui sont des victimes conscientes ou inconscientes de la misogynie islamique. Il y aura beaucoup à accomplir pour jeter les bases légales pour inviter la communauté internationale à se rappeler qu’il est de notre responsabilité de défendre les droits de l’homme dans l’égalité, la dignité, et la liberté pour les deux sexes. 

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